Le pirate est parvenu à réaliser cet exploit en passant par le “dark web”, une portion du réseau internet qui est inaccessible aux internautes qui utilisent des logiciels traditionnels.
Aux dires du pirate lors d’une entrevue avec Vice, celui-ci ne devait pas faire fermer des sites à l’origine, car il ne voulait qu’en observer le fonctionnement.
Or, après s’être rendu compte que l’hébergeur de masse dans lequel il s’était introduit était l’hôte d’une dizaine de milliers de site de pornographie infantile, le pirate a décidé de mettre fin à ceux-ci.
Suite à cette opération, le groupe Anonymous a revendiqué la fermeture de masse en annonçant à l’hébergeur touché que tous ses fichiers avaient été copiés et archivés et qu’ils étaient maintenant en vente.
