Top 10 des dessins d’enfants les plus foirés de l’Histoire, enfin quand on comprend rien à l’Art

Quelle puissance. L’ajout d’un troisième « A » dans la dénomination « maman » ne doit surtout pas être considéré comme une faute de l’enfant, il témoigne d’un amour qui surpasse l’affection habituelle d’un fils pour sa mère. Pour le reste, il n’y a qu’à observer avec quelle douceur l’artiste souligne au crayon noir la beauté du regard de sa génitrice. Les lèvres pulpeuses ainsi que la rondeur du ventre viennent compléter le tableau comme un grand merci, merci pour ta fertilité maman, merci de m’avoir mis au monde. C’est émouvant.

Un simple croissant de lune, deux sapins et le décor est planté. C’est la nuit, dans une forêt que l’on ose imaginer scandinave ou canadienne. Lieu où l’on ne s’attend pas à trouver le-dit flamant rose. Et c’est là toute la force de l’absurdité de ce dessin. Un trait de crayon comme un trait d’esprit qui vient lutter contre une rationalité devenue ennuyeuse, attendue, morne. Un grand écart entre la morosité du monde et la fraîcheur de l’imagination. Du génie.

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