Top 10 des pires lettres de serial killer, la grosse ambiance

Parfois, les serial killers posent la hache et prennent la plume. Ils nous offrent dès lors de beaux moments d’une littérature froide, absurde, absconse, totalement exaltée et surtout ULTRA FLIPPANTE. Cruelle aussi. A gerber, quoi. Et les exemples sont nombreux.

On ne vous refait pas le parcours d’Albert Fish dont on parle dans presque tous nos tops relatifs aux serial killers parce qu’il était terrifiant. Il tuait, violait et mangeait des enfants dans les années 20 et 30. Parmi ceux-ci, une petite fille, Grace Budd, qu’il avait amadouée en s’invitant à déjeuner chez ses parents et en proposant d’emmener la fille à une fête chez sa tante. La petite n’est jamais réapparue, mais Albert Fish a écrit une lettre à la mère. Celle-ci, illettrée, a dû demander à son fils de la lui lire. En substance, outre diverses histoires à dormir debout sur l’origine de son cannibalisme, voilà ce qu’Albert Fish disait :

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