De plus en plus de gens décident de passer à l’alimentation biologique, ne partageant pas les systèmes de culture traditionnels. L’étiquetage ne fournit pas toujours toute l’information dont les consommateurs ont besoin pour faire des courses éclairées et sans danger pour leur santé.
Contrairement à l’agriculture conventionnelle, l’agriculture biologique devrait utiliser peu ou pas de pesticides, en accordant une attention particulière à l’intégrité du sol et de l’écosystème dans lequel la culture est pratiquée.
Il peut être difficile de passer à une alimentation biologique complète, mais une première étape importante est de savoir quels aliments sont le plus souvent contaminés et non durables.
Compte tenu de la mondialisation des marchés et des techniques culturales courantes, dans de nombreux cas, les produits ne s’appliquent pas seulement aux États-Unis. Il faut tenir compte du fait que les analyses à partir desquelles les résultats sont extrapolés sont effectuées en lavant les fruits ou les légumes et, dans la mesure du possible, en enlevant la peau, comme le ferait le consommateur : cela démontre qu’il n’est pas toujours suffisant de rincer les aliments pour être sûr de ne pas ingérer de pesticides ou d’autres produits chimiques.
