L’aspartame des boissons sans sucre augmenterai le risque d’AVC, de démence et d’autres maladies d’après des études

Selon les agences américaines et européennes, notamment la Food and Drug Administration et L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), la majorité des études négatives sur l’aspartame ne peuvent établir de lien direct entre l’édulcorant et les risques pour la santé. Comme l’explique le Figaro, pour ces dernières “une dose de 40 micro-grammes par kilo et par jour constitue une protection adéquate pour la population générale”.

Néanmoins, les autorités sanitaires françaises préfèrent en réduire la consommation, notamment chez les enfants et les femmes enceintes. Jean François Narbonne,  professeur de toxicologie alimentaire et expert auprès de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, rappelle au Figaro qu’au vu des nombreuses études levant le voile sur un danger potentiel de l’aspartame, la prudence est de mise. Selon l’expert, il est inutile de prendre des risques tant que la question liée à leurs dangers n’a pas encore fait l’unanimité.

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