Stéphanie Spielmann, auteure de cette étude, affirme par ailleurs, qu’il serait judicieux de faire fi des discours de la société au sujet des personnes qui tentent d’avoir des relations sexuelles avec leurs anciens compagnons, vu qu’ils ne sont pas justifiés. Aussi, il semblerait pour la chercheuse, que cela puisse constituer une phase transitoire pour se remettre de la rupture et passer à autre chose, tout en demeurant positif au quotidien.
Dans cette optique, la plupart des participants de cette étude, estiment qu’ils n’ont pas trouvé de difficultés à sortir de leur relation amoureuse. En cédant à leurs pulsions, ils se sentaient mieux dans leur peau et plus constructifs pour transiter vers une nouvelle relation prometteuse.
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