Les excréments fossiles, comme le vomi, méritent aussi notre attention

Les squelettes fossiles nous en disent long sur les espèces disparues, mais les traces de leurs activités biologiques sont tout aussi importantes.

Ces excréments, peut-on lire, avaient d’abord été considérés comme de simples déjections de rongeurs modernes habitués à fréquenter le site. Une étude approfondie de ces restes, menée par les paléontologues Laura Tewksbury et Karin Rice, a cependant révélé qu’il s’agissait en réalité de restes d’anciens rats du genre Neotoma qui avaient élu domicile ici-même il y a environ 50 000 ans. Les analyses ont également révélé que ces derniers se nourrissaient de plantes C3 (qui convertissent le CO2 en un composé à 3 carbones).

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