Claude Poirier a pris l’habitude de donner son avis sur la crise sanitaire que nous traversons, après avoir parlé d’économie et du monde d’après, il s’est intéressé au sujet délicat des ainés et il n’a pas mâché ses mots. Pour lui, ils sont traités comme du bétail.
Il a utilisé une anecdote personnelle pour illustrer ses propos. «Ma mère et deux de mes tantes ont été hébergées dans des résidences publiques et privées. J’allais régulièrement les visiter, surtout ma mère que je voyais au moins quatre fois par semaine malgré mon travail. Combien de résidents me disaient alors qu’ils n’avaient pas de visite de leurs enfants depuis très longtemps».
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