Paradoxalement, l’arrivée de fortes pluies peut aggraver les symptômes de l’allergie au pollen

Une nouvelle étude permet de mieux comprendre pourquoi les personnes allergiques au pollen ne sont pas forcément soulagées par l’arrivée de fortes pluies. En effet, il n’est pas rare que les symptômes allergiques subissent une phase d’aggravation. Un phénomène contre-intuitif sur lequel ces travaux font la lumière.

Temps chaud et ensoleillé, vent modéré, faible humidité de l’air… Voilà un paysage météorologique qui ne ravit pas particulièrement les personnes allergiques au pollen.

Émis une large partie de l’année par différentes espèces de plantes, le niveau pollinique présente un maximum bien connu au printemps. À ce jour, on estime qu’environ 30 % des Français sont touchés par ce qu’on a coutume d’appeler le rhume des foins. Les scientifiques parlent de pollinose pour décrire cette réaction immunitaire consécutive à l’entrée des grains de pollen dans l’organisme.

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