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« C’est un crime contre l’humanité » La Chine vendrait les organes des prisonniers à des riches personnes

Hamid Sabi, un avocat du tribunal, a dénoncé des “crimes contre l’humanité” en affirmant avoir les preuves nécessaires pour incriminer le gouvernement. “Les prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers d’opinion, y compris les minorités religieuses du Falun Gong et des Ouïghours, ont été commis pendant des années dans toute la Chine à une échelle significative”, a martelé l’avocat. Pour lui, il s’agit là d’une “des pires atrocités de masse de ce siècle”, qui compte “des centaines de milliers de victimes”.

Pendant longtemps, la Chine a démenti l’existence de ces camps. Suite à de nombreuses enquêtes à l’échelle internationale, le pays a été forcé d’admettre officiellement la mise en place de ces camps, présumés servir pour “l’éducation”. Seulement, il semblerait que plusieurs individus affiliés à ces camps disparaissent de manière suspicieuse. En 2016, la Chine a mis en place une vaste campagne contraignant les habitants Ouïghours à passer une série de tests médicaux. Ainsi, des prélèvements sanguins ainsi que des échographies permettant de visualiser toutes les caractéristiques d’un organe étaient effectués.

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