Cinquante planètes ont été confirmées par un nouvel algorithme d’apprentissage automatique. Développée par des chercheurs de l’Université de Warwick, cette méthode pourrait à l’avenir maximiser le nombre de découvertes.
Pour “chasser” les exoplanètes, les télescopes s’appuient sur la méthode du transit qui consiste à déceler de faibles et régulières baisses de luminosité stellaire. Ces dernières peuvent en effet témoigner de passages répétés de planètes entre l’observateur (le télescope) et l’étoile hôte. En revanche, ce n’est pas toujours le cas. En effet, ces fluctuations peuvent également être causées par la présence d’une seconde étoile dans le cadre d’un système binaire. Cela peut aussi n’être le résultat que d’une interférence avec un objet situé en arrière-plan.