Les dessins de Léonard de Vinci ont un microbiome unique

Les chercheurs ont identifié de nouveaux “secrets cachés” dans les peintures de Léonard de Vinci : leur composition microbienne. Il s’agit d’informations uniques permettant de retracer les lieux où ils ont été réalisés et déplacés au cours des siècles.

Il y a 564 ans, le 15 avril 1452, naissait Léonard de Vinci, l’un des plus grands génies de l’histoire. Peintre, scientifique, ingénieur, inventeur, sculpteur, architecte, botaniste, musicien, philosophe ou encore écrivain, ses casquettes étaient nombreuses, si bien que l’homme, encore aujourd’hui, continue de fasciner. Et c’est pourquoi il fait naturellement encore l’objet d’étude.

Dans le cadre de récents travaux, des chercheurs autrichiens et italiens se sont concentrés sur sept de ces dessins. L’objectif n’était pas d’isoler d’éventuels “croquis cachés”, mais d’analyser leur “microbiome”. Cinq d’entre eux sont actuellement conservés à la Bibliothèque royale de Turin : Autoritratto, Nudi per la battaglia di Anghiari, Studi delle gambe anteriori di un cavallo, Studi di insetti et Tudi di gambe virili. Les deux derniers sont conservés à la Bibliothèque corse de Rome. Il s’agit de Uomo della Bitta et de Studio di panneggio per una figura inginocchiata.

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