Alors que l’humanité lorgne sur l’espace, il s’avère que les océans restent encore dans leur grande majorité inexplorés. Sous l’impulsion d’un programme de l’UNESCO, une start-up en particulier pourrait jouer un immense rôle dans la future connaissance des fonds océaniques.
Ce programme Seabed 2030 fondé par la Nippon Foundation-GEBCO dispose d’un capital d’amorçage de 2 millions de dollars par an. Évidemment, cette importante manne financière a attiré de nombreuses sociétés venant proposer leurs services. Parmi ces dernières, nous retrouvons la start-up étasunienne Bedrock, dont les ambitions sont immenses.
À l’origine de Bedrock, nous retrouvons un ancien ingénieur de SpaceX ainsi que l’ancien PDG de Nautilus Lab, une société travaillant sur l’efficacité énergétique des bateaux. La start-up Bedrock se spécialise quant à elle dans la cartographie, l’exploration marine et les sonars. Cette dernière a conçu un sous-marin de taille assez réduite, autonome et 100 % électrique. L’engin en question est connecté à une plateforme et à un service de données à propos les fonds marins.