La concentration atmosphérique en hydrogène moléculaire a augmenté de 70 % au cours du siècle dernier

L’analyse d’échantillons de glace prélevés sur les mégadunes de l’Antarctique montre que la quantité d’hydrogène moléculaire présent dans l’atmosphère a fortement augmenté au cours des 150 dernières années. Les résultats paraissent dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) ce 7 septembre.

Mais les scientifiques étudient également tout un ensemble de composés moins connus. À cet égard, une équipe de chercheurs a récemment reconstitué la teneur de l’air en hydrogène moléculaire (H2) – aussi appelé dihydrogène – entre 1852 et 2003. Jusqu’à présent mal connue, celle-ci influence pourtant la durée de vie de certains gaz à effet de serre, donc le rythme du réchauffement global, ainsi que la pollution à l’ozone troposphérique.

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