Une étude portant sur la salinité de l’océan montre qu’il se mélange de moins en moins

Une conséquence très directe du réchauffement climatique est l’accélération du cycle de l’eau à l’échelle mondiale. On résume souvent ce phénomène en disant que les régions sèches tendent à devenir plus sèches et les régions humides plus humides avec une aggravation des pénuries d’eau d’un côté et des inondations de l’autre.

Il existe deux grandes mesures de ce paramètre : d’un côté les observations in situ effectuées entre cinq et dix mètres de profondeur et de l’autre les observations par télédétection fournies par les satellites. Or, contrairement aux mesures de terrain, ces dernières évaluent la salinité de surface au sens le plus fort du terme, c’est-à-dire dans le premier centimètre d’eau environ.

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