Durant l’enquête, ils ont comparé les lésions chez les patients « incapables d’arrêter de fumer » à des lésions « ayant entraîné une rémission de la dépendance au tabac ». Ce n’est pas tout ! Les chercheurs ont ensuite cartographié les résultats dans le circuit global. Ils se sont finalement rendu compte que « les lésions qui ont conduit à l’arrêt du tabac correspondaient à un circuit cérébral spécifique ». Après une rude comparaison avec une autre étude, les lésions associées à un risque réduit d’alcoolisme seraient le même que ce circuit cérébral.
« En regardant au-delà des régions cérébrales particulières et en s’intéressant à la place au circuit cérébral global, nous avons trouvé des cibles pour la rémission de la dépendance et nous sommes impatients de les tester dans des essais cliniques », a-t-il expliqué.