On dit que lorsqu’on se marie, on accepte aussi de faire partie de la famille de son conjoint. Bien que cette affirmation puisse sembler étrange et exagérée, car elle suggère que l’on n’a pas d’autre choix que de supporter les non-sens imprévus de l’autre famille, il y a un grain de vérité dans cette affirmation. Autant certains beaux-parents deviennent la meilleure seconde famille, apportant joie et contentement, autant d’autres se révèlent être une épine dans le pied pour laquelle il n’existe aucun remède.
L’auteure de l’histoire explique que la belle-mère vit à l’autre bout de la ville et a tendance à se présenter sur le pas de la porte à l’improviste et sans y être invitée. Habituellement, la femme se présente vers 8h15 les jours ouvrables, quand son fils – également le mari de la protagoniste – commence à travailler à 8h30.
