Les modèles climatiques minimiseraient l’intensification des précipitations extrêmes

En climat plus chaud, la quantité d’eau qui circule dans les perturbations météorologiques augmente. Une conséquence directe de cette évolution est l’intensification des précipitations extrêmes et des inondations qui leur sont liées. Cependant, les modèles climatiques sous-estiment probablement l’ampleur de la hausse ainsi que l’ont rapporté des chercheurs dans la revue Nature Climate Change le 7 juillet dernier.

« La question de savoir si la pluie produite par un nuage au cours de sa vie augmentera ou diminuera dans des climats plus chauds est une question de recherche qui remonte à plus d’un demi-siècle. Nous sommes toujours à la recherche de la réponse », rapporte Ryan Li, auteur principal de l’étude. « Ce que nous avons montré, c’est que la réponse à cette question apparemment exotique joue en fait un rôle important dans les projections du changement climatique mondial ».

Lire la suite sur SciencePost