La femme qui sent la maladie de Parkinson : son odorat hypersensible aide la recherche médicale

Parfois, les découvertes scientifiques les plus ingénieuses proviennent d’événements quotidiens ou d’erreurs de laboratoire qui nous permettent de regarder les choses sous un nouvel angle et de sortir des sentiers battus. C’est le cas, par exemple, d’Isaac Newton, qui aurait formulé sa théorie sur la gravitation en observant une pomme tombant d’un arbre dans le jardin, ou de la découverte de la pénicilline, trouvée par le bactériologiste Alexander Fleming sur des plaques de colonies bactériennes.

S’il sera possible de détecter la maladie de Parkinson en quelques minutes à l’aide d’un simple écouvillon, le mérite en revient également à une femme aux capacités olfactives extraordinaires, qui a aidé les chercheurs à mettre au point ce test.

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