Le projet a été initié pour comprendre l’impact de la « pandémie de solitude », causée par les fermetures prolongées et l’isolement liés à la pandémie de COVID-19.
Les taux de solitude les plus élevés ont été enregistrés en Irlande, où environ 20 % des répondants ont déclaré se sentir seuls. En revanche, les niveaux de solitude les plus bas ont été observés aux Pays-Bas, en République tchèque, en Croatie et en Autriche, où moins de 10 % des personnes interrogées ont exprimé ce sentiment.
Ce rapport met en lumière l’ampleur du problème de la solitude au sein de l’UE et souligne l’importance de s’attaquer à cette question croissante pour le bien-être mental et émotionnel de la population. Il souligne également la nécessité de mettre en place des mesures de soutien social pour aider les personnes touchées par la solitude et l’isolement, en particulier à la suite des perturbations causées par la pandémie de COVID-19.