Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong a prononcé la phrase qui a marqué l’histoire : « C’est un petit pas pour un homme, un grand pas pour l’humanité, » devenant ainsi le premier humain à fouler la surface lunaire lors de la mission Apollo 11. Cependant, derrière cette conquête majeure de l’espace, se cache une énigme médicale qui continue d’intriguer les scientifiques et les experts en santé.
En 1972, Harrison Schmitt, un géologue, astronaute, et sénateur américain, lui-même participant à la mission Apollo 17, a donné un nom à cette étrange affection : le « rhume des foins lunaire ». Les symptômes de cette maladie ressemblent de manière frappante à ceux de la rhinite allergique. Pendant plusieurs jours, tous les astronautes ayant marché sur la Lune ont souffert de congestion nasale, d’inflammation de la gorge et d’éternuements incessants.