Ils ont prélevé des échantillons de selles, de sang, de matériel génétique, de microbes, de protéines et d’autres produits de processus métaboliques lors d’au moins cinq examens médicaux, en surveillant l’évolution des niveaux de molécules biologiques au fil du temps.
Après une analyse approfondie des échantillons, les chercheurs ont identifié 608 molécules qui pourraient servir à prédire les problèmes de liés au vieillissement. Ils ont ensuite classé ces biomarqueurs en quatre catégories.
« Le profil de vieillissement est plus qu’une étiquette, il pourrait éventuellement permettre à un individu de s’attaquer à ses facteurs de risque en ciblant les domaines pour lesquels il est plus susceptible de rencontrer des problèmes, » explique Snyder.
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