Récemment, au Royaume-Uni, une experte s’est exprimée sur un sujet assez peu mis en avant concernant l’intelligence artificielle, à savoir ses potentiels effets négatifs sur les systèmes politiques démocratiques.
Or, le fait est que ChatGPT est capable de communiquer aux utilisateurs des articles payants sans autorisation. Ainsi, l’accord entre les deux parties n’a pas tenu et le New York Times a même porté plainte, affirmant que ChatGPT portait atteinte à l’exercice démocratique. Le média estime qu’il est question d’un manque à gagner, mais aussi que cela impacte sa capacité à livrer une information de qualité indépendante.
Pour Gina Neff, le problème est plus profond qu’il n’y paraît. En effet, toutes les plus petites entreprises cherchant à baser leur création de contenus sur l’IA devraient appréhender ces questions de propriété intellectuelle. Surtout, il convient de s’intéresser à l’influence des points de vue repris dans les articles publiés sur ces sites de presse de taille plus modeste qui plus est, sont souvent les plus lus sur la toile.