Lorsque ces mêmes grands-mères regardaient des photos de leurs propres enfants à l’âge adulte, les zones cérébrales qui s’activaient sont celles associées à l’empathie cognitive qui désigne la faculté à comprendre les pensées et les sentiments d’autrui.
Toujours dans le même contexte, l’étude conduite par l’anthropologue en question a démontré qu’un changement cérébral peut se produire chez les personnes qui vivent avec un enfant en général.
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