Comme à Wangaratta en 2016, le 3 mars dernier, les plantes invasives avaient déjà fait parler d’elles après qu’une invasion d’« herbes qui roulent » (ou tumbleweeds en anglais) se soit abattue sur la ville de South Jordan, États-Unis, après une grosse tempête. Des milliers de virevoltants avaient alors bloqué les routes et les maisons en formant des murs d’herbes impressionnants de plusieurs mètres de haut. Pourtant, comme le prouve une étude récente, les espèces envahissantes de ce type s’imposent généralement de manière plus insidieuse. Et si on ne les voit pas forcément venir, elles représentent une menace réelle et leurs effets peuvent être dévastateurs pour la planète.
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