L’association a jugé ces résultats « surprenants », soulignant que les fabricants ne mentionnent que deux types de plastiques en contact avec la boisson. Magali Leroy, responsable des enquêtes et analyses pour Agir pour l’Environnement, appelle Coca-Cola et les autorités sanitaires françaises à garantir aux consommateurs que les contenants ne les exposent pas à des molécules dont l’impact sur la santé reste incertain.
Après la première ouverture des bouteilles, l’analyse a révélé la présence de 4 microparticules par litre dans le Coca-Cola et de 4,6 microparticules par litre dans le Schweppes. En revanche, après 20 ouvertures, la concentration a considérablement augmenté, avec 46 microparticules par litre dans le Coca-Cola et 62 microparticules par litre dans le Schweppes.