D’après une récente étude américaine, adopter un mode de vie plus proche de la nature dès l’âge de 50 ans ralentit le déclin cognitif et réduit les risques de démence. Ce mardi 3 septembre, Aline Perraudin a analysé ces résultats fascinants qui mettent en lumière les bienfaits du contact avec la nature pour notre cerveau.
Conduite par des neurologues de l’Université de Boston, cette étude révèle que vivre dans un environnement verdoyant freine le déclin des capacités cognitives. Le constat est sans appel : ceux qui s’entourent de verdure dès la cinquantaine présentent un déclin cognitif plus lent comparé à ceux qui résident dans des zones moins vertes. Ce processus de déclin cognitif, bien que naturel avec l’âge, se traduit par plusieurs facteurs. Il s’agit des pertes de concentration, des trous de mémoire temporaires et d’autres signes de vieillissement mental.