Cela implique de poser des questions pertinentes et réfléchies. Si cette étape semble simple pour la plupart, beaucoup ont tendance à négliger la qualité de leurs réponses, souligne Anderson.
Comment procéder ? En se servant de la réponse de l’autre pour recentrer la discussion sur soi. Par exemple, si votre interlocuteur vous confie avoir eu une journée difficile au travail, au lieu de répondre en parlant de votre propre journée difficile, vous pouvez lui poser ce que les psychologues appellent une « question de soutien ».
Cela vous permettra d’approfondir en lui demandant ce qui a rendu sa journée si difficile et ce qu’il ressent à ce sujet, explique Anderson.
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