Ces découvertes ouvrent de nouvelles perspectives pour la compréhension des troubles neurologiques. En effet, cette capacité du cerveau à maintenir un codage temporel autonome pourrait expliquer certains dysfonctionnements observés chez les patients atteints de maladies neurodégénératives ou de troubles de la mémoire, tels que la maladie d’Alzheimer. Comprendre les mécanismes précis par lesquels l’hippocampe traite et stocke le temps pourrait non seulement améliorer le diagnostic précoce, mais également inspirer des traitements innovants visant à préserver ou restaurer ces fonctions essentielles.
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