Aux États-Unis, une étude portant sur le vieillissement serait la clé pour prolonger notre espérance de vie. Selon les scientifiques, il est question d’un ajustement nutritionnel précis dont les effets sur la longévité seraient bénéfiques.
Relativement passée inaperçue à l’époque, cette étude pilotée par l’Université du Wisconsin à Madison (États-Unis) concerne l’isoleucine, un acide aminé très particulier. Plus précisément, il s’agit ici d’un acide aminé dit « essentiel » et faisant partie des vingt acides aminés majeurs codés par le génome pour la synthèse des protéines.
Seulement voila, l’organisme humain ne produit pas d’isoleucine et doit absolument se fournir dans son alimentation, principalement dans le poisson, la viande, les œufs, les légumineuses, les produits laitiers ainsi que certaines fruits secs. Indispensable au bon fonctionnement du corps humain, cet acide aminé participe à la réparation des tissus, à la production d’énergie et ce, tout en agissant sur plusieurs fonctions métaboliques.