Ceux qui ont très peu d’amis proches ou de famille sur qui compter ont souvent ces habitudes sans s’en rendre compte

Il y a quelque temps, je discutais avec un retraité au parc. Nous regardions nos chiens renifler le sol et parlions de cette étrange sensation qu’on ressent quand notre cercle social se rétrécit : les enfants déménagent, les vieux amis s’éloignent, et l’on réalise à quel point notre monde s’est réduit. Il ne s’agit pas toujours de solitude au sens dramatique du terme. Parfois, c’est plus subtil. On continue à vaquer à ses occupations quotidiennes, mais on n’a plus vraiment quelqu’un à appeler quand quelque chose de drôle ou de difficile se produit.

Avec le temps, j’ai remarqué que certaines habitudes apparaissent chez les personnes qui ont très peu de relations proches. Le plus souvent, elles ne s’en rendent même pas compte. Mais ces comportements discrets sont des signes que le besoin fondamental de connexion humaine n’est pas comblé.

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