Le but de cette étude ? Évaluer la nocivité de l’utilisation des tampons, supposés responsables des chocs toxiques pouvant toucher les femmes porteuses du staphylocoque doré. Une rare affection, qui est potentiellement mortelle, provoquée par une accumulation de sang dans le vagin et favorise le développement de la bactérie, qui produit une toxine qui se répand dans le sang.
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