En France, des dizaines de victimes ont rapporté avoir eu les pieds brûlés par des souliers vendus en magasin.
La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) a annoncé en juin qu’elle avait récupéré les souliers d’une première victime ainsi qu’une paire de souliers neufs du même modèle afin de procéder à des analyses.
Aux dires de l’organisme, celui-ci espère déterminer la présence de substances toxiques comme le diméthylfumarate, un agent fongicide.
Jusqu’ici, près d’une vingtaine de cas de brûlures ont été répertoriés, mais comme le recensement n’est pas terminé, on prévoit que d’autres cas s’y rajoutent.
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