Trois Françaises auraient été arrêtées en Irak et elles seraient présentement incarcérées à Bagdad suite à la chute de Daesh.
Parmi les trois femmes arrêtées, on y retrouve une mère d’un enfant ainsi qu’une autre mère de 4 enfants.
Les trois femmes n’ont toujours pas été jugées, or elles risquent la peine de mort par pendaison si elles sont trouvées coupables d’un lien avec Daesh.
Dans l’éventualité d’une condamnation à mort, les trois femmes auraient 30 jours pour faire un appel et si celui-ci était refusée, leur châtiment serait alors applicable sur le champ.
D’ailleurs, si les trois femmes pensaient pouvoir compter sur les autorités françaises afin de les sortir de cette situation, celles-ci devront trouver une alternative à la lumière de ce que l’Élysée a affirmé à ce sujet: “Nos ressortissants incarcérés à Bagdad seront jugés sur Place car l’Irak est un état souverain, reconnu par la communauté internationale.”