Enfin pas qu’à la morgue, dans les pompes funèbres aussi. Bref, les métiers du funéraire dans leur ensemble, depuis celui qui prend en charge le cadavre à l’hôpital jusqu’à celui qui organise la cérémonie finale. Et ça ne donne pas très envie ni de mourir, ni de devenir thanatopracteur, cette affaire.
En réalité, pour éviter que les yeux ou la bouche du mort ne s’ouvrent pendant la cérémonie, les thanatopracteurs scellent les yeux et la bouche du défunt avec une colle spécialement prévue à cet effet.
La décomposition engendre la libération de gaz qui s’échappent par la bouche ou par l’anus, assez logiquement. Outre le problème de l’odeur (qui n’intervient qu’assez tardivement, évidemment), il faut imaginer ce que cela sous-tend de travailler autour d’un mort qui exhale de temps en temps ; un peu de confusion, évidemment.