Top 10 des secrets de fabrication derrière les films d’horreur, la magie du cinéma

Quand on regarde un film d’horreur, on sait qu’on regarde un film d’horreur, c’est écrit sur l’affiche, c’est écrit sur le titre du film, c’est écrit dans la musique, c’est écrit dans le premier personnage qu’on voit à l’écran, c’est écrit dans le scénario, c’est écrit bordel, mais on a quand même peur. C’est un savoir-faire de ouf que d’y arriver systématiquement et il y a des secrets pour ça.

Les tous premiers films d’horreur étaient en noir et blanc ; on utilisait alors du sirop de chocolat car sa consistance rappelait celle du sang. Ensuite, avec l’apparition de la couleur, on a amélioré le truc : on a commencé par cuisiner des cochenilles rouges et à les faire fondre, mais bon c’était pas cool pour les insectes et ça puait. Désormais, le faux sang est souvent réalisé en mélangeant du colorant rouge à du miel pour la texture, le tout arrosé d’eau et de farine de maïs pour épaissir le tout. En tous les cas, pas de vrai sang, donc.

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