Je hais les araignées. Je les hais tellement que j’ai du en buter plusieurs centaines. Des petites, des grosses, des très grosses. Quand il y a une araignée dans la même pièce que moi, c’est qu’une de nous deux doit mourir, et ce ne sera pas moi. Mais l’autre jour alors que je bombardai une malheureuse bergère d’insecticide, l’inoffensive araignée s’est dressée sur ses petits papattes et a commencé à me parler pour me dire que cette guerre n’avait pas lieu d’être. Que nous pourrions cohabiter dans l’amour et le partage et que les araignées avaient beaucoup à nous apporter. J’ai donc cesser de l’importuner et enfourcher mon dauphin pour voler vers d’autres terres en quête de paix. Prout.
Lire la suite sur Topito