Aucun rapport avec la fameuse pipe de Georges, qui, elle, se situe plutôt du côté de Sète et non de Bordeaux.
On savait que c’était une ville de babos, mais de là à obliger tout le monde à fumer des clopes pour avoir l’air cool, y’a un cap qu’on n’aurait pas forcément franchi de nous-mêmes.
Asnières les effets néfastes de la pollution sur la santé, on finit par s’étouffer. Pas de quoi en faire tout un Saint-Ouen.
Histoire de coller au cliché de l’écrivain maudit qui vit en noir et blanc dans une chambre sous les toits en s’envoyant des volutes de sèches au menthol entre deux rasades de whisky.
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