« On court un risque majeur qui est celui de voir sortir de prison à l’issue de leur peine des gens qui ne seront pas du tout repentis, qui risquent même d’être encore plus endurcis compte tenu de leur séjour en prison », s’est récemment alarmé le procureur de la République de Paris, François Molins, sur BFMTV.
Des 512 individus actuellement détenus pour terrorisme, 10 % pourraient être libérés d’ici la fin de l’année 2019. Depuis quelques années, entre 1 200 et 1 300 personnes détenues pour des faits divers se sont radicalisées en prison. Environ le tiers d’entre eux pourraient être libérés d’ici un an et demi en plus de ceux déjà accusés de terrorisme.
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