Ah, les succès éphémères, c’est la magie et la cruauté de l’industrie musicale. Un jour on voit éclore un artiste (oui parfois « artiste » est un bien grand mot) qui vend un paquet d’albums, mais le lendemain il n’existe plus. Disparu des radars. Jusqu’à ce qu’on entende à nouveau son nom au détour d’une conversation, ou qu’on ait sa chanson en tête toute la journée sans aucune raison. C’est vrai, on avait acheté son album, même si on a souvent un peu honte, et aujourd’hui il traîne au fond de la boîte à gants, au fond d’un placard, au fond de l’oubli.
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