14 faits que j’ai compris en vivant 5 ans à l’étranger

L’auteure de ce texte tient à souligner le fait qu’il s’agit seulement de son expérience personnelle. Tu peux être d’accord ou non avec elle, mais Sympa espère que, dans tous les cas, tu trouveras ce témoignage rempli d’émotions et d’espoir.

Même la chemise de mon cher fiancé, que j’emportais dans l’avion comme une espèce de talisman, n’a pas servi à me protéger de l’anxiété. À l’aéroport de New York, j’eus du mal à comprendre l’accent de certaines hôtesses de l’air, paniquai et, à chaque annonce faite par haut-parleur dans l’aéroport, me mis à courir de porte d’abordage en porte d’abordage. J’avais trop peur de perdre ma correspondance.

Quand j’ai enfin embarqué dans mon avion, je me suis sentie très mal en constatant à quel point il était petit : seulement deux rangées, avec un seul siège de chaque côté. J’ai demandé aux autres passagers : “est-ce normal ? Vous voyagez souvent dans ce type d’avion ? ” Avec un petit sourire, ils m’ont répondu que oui, qu’ils prenaient fréquemment ce type d’appareils.

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