Tracey May n’avait que 11 ans quand elle a été violée par un policier pédophile. Elle est tombée enceinte, mais elle a fait une fausse couche et elle a perdu le bébé.
La victime a confronté son agresseur en cour, mais elle n’a pas le droit de le nommer publiquement. Un ordre de non publication de la cour a été demandé au début des procédures sans qu’on sache trop pourquoi et il n’a pas de date d’expiration. Tracey ne pourra donc jamais nommer son agresseur publiquement même s’il a été reconnu coupable.
« Je l’ai confronté en cour et je n’avais pas peur pour la première fois de ma vie. Puis on m’a dit que je ne pourrais jamais le nommer », a déploré Tracey, maintenant adulte.
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