Top 10 des réponses aux questions qu’on se pose sur les prénoms

Un prénom, c’est pour la vie. Prenez par exemple un type de 25 ans qui s’appelle Jean-Michel : il va encore souffrir pendant un petit moment, à moins bien sûr qu’il ne parvienne à convaincre l’Etat civil que le prénom lui porte préjudice au quotidien dans la conduite de sa vie (par exemple parce que tout le monde rit dès qu’il se présente). Car oui, on peut en réalité changer de prénom, mais c’est une jolie petite galère. Mais service-public.fr est là pour toi et Topito aussi.

En théorie, oui, mais en pratique, non. En gros, tout ça va se jouer à l’appréciation de l’Officier de l’Etat civil. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la France, contrairement à certains pays, ne dispose pas de liste de prénoms autorisés ou interdits ; néanmoins, la loi précise que le prénom doit être choisi de façon à ne pas pouvoir nuire à l’intérêt de l’enfant ou à lui permettre plus tard de réaliser des usurpations d’identité. Si la deuxième condition est non seulement rare mais surtout évidente, la première, elle, est discrétionnaire. En cas de désaccord de l’Officier d’Etat civil, celui-ci est en charge d’avertir le procureur qui, selon les cas, saisira le juge aux affaires familiales. En attendant la comparution, le prénom choisi par les parents fera foi.

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