La nature se réapproprie de Tchernobyl : les pièges photographiques dans la zone rouge révèlent des surprises

La catastrophe nucléaire de Tchernobyl n’a pas seulement laissé une profonde blessure dans la vie et la mémoire de millions de personnes, elle a également causé la dévastation d’une grande partie du nord de l’Ukraine (qui faisait alors partie de l’URSS). Depuis 1986, la région entourant la centrale est abandonnée, marquant la naissance de ce que l’on appelle la “zone d’exclusion”.

Depuis lors, les plus téméraires s’y sont aventurés, mais à chaque fois – surtout ces dernières années – les résultats ont été surprenants, surtout au niveau de la faune.

Déjà en 2015, tous les grands médias naturalistes avaient exulté en communiquant la présence de communautés florissantes d’élans, sangliers, chevreuils et loups dans la zone d’exclusion, mais aujourd’hui cette nouvelle est enrichie par une nouvelle documentation photographique.

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