L’impact climatique des traînées de condensation multiplié par 3 d’ici 2050

La perturbation climatique induite par les traînées de condensation – une conséquence du trafic aérien – devrait être multipliée par 3 d’ici 2050. C’est du moins ce que révèlent les travaux de deux chercheuses allemandes. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Atmospheric Chemistry and Physics le 27 juin dernier.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le rejet de CO2 n’est pas le mécanisme premier par lequel le trafic aérien affecte le climat. En fait, la perturbation dominante résulte des traînées de condensation – contrails en anglais -, lesquelles tendent à se former derrière l’appareil. En 2005, 5 % de la perturbation climatique associée aux activités humaines leur était attribuable.

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