Une étude s’est penchée sur le taux de consanguinité au Royaume-Uni

Une récente étude suggère que près d’une personne sur 3 600 serait le “fruit” de la consanguinité au Royaume-Uni. C’est plus que les estimations précédentes. Et forcément, il y a des conséquences.

Les chercheurs expliquent s’être concentrés sur les versions identiques d’un même gène dans l’ADN des participants (homozygotie). Nous en avons tous, plus ou moins. Mais en retrouver sur de longues périodes est signe de consanguinité. Après analyses de toutes ces données, ils ont isolé 125 personnes, soit environ une personne sur 3 600 environ. C’est plus que ce que suggéraient les estimations précédentes (une sur 5 200). Toutes étaient le “fruit” d’une consanguinité entre parents au premier degré (père et mère) ou au second degré (petits-enfants, frères et sœurs).

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