Depuis que l’organisme offre un service d’aide par textos, ce sont entre 400 et 450 demandes par jour qui sont envoyées.
Le service avait été testé au Manitoba en février 2018, puis suite au succès remporté par le projet pilote, l’organisme l’a officiellement mis en place mardi dernier à l’échelle du pays, autant en français qu’en anglais.
Marie-Claude Landry, conseillère en développement à Jeunesse, J’écoute, assure que depuis que le service a été lancé officiellement, l’organisme reçoit des centaines de demandes chaque jour.
Dans une entrevue à Québec Matin avec Jean-François Guérin, la conseillère a déclaré: “Ils nous parlent de tout, mais surtout d’anxiété, de relations interpersonnelles, même de pensées suicidaires. […] La technologie change les habitudes de communication des nos jeunes. C’est important pour Jeunesse, J’écoute d’être à l’avant et de communiquer avec les jeunes de la façon dont ils ont envie, et puis c’est clairement avec le texto”.
