Une femme, dans un état critique, est décédée après avoir attendu 11 heures aux urgences

Selon le docteur Serge Melanson, président la Société médicale de New Brunswick et médecin urgentiste à l’hôpital de Moncton, le cas de Marianne n’est pas un cas isolé. En réalité, il semblerait que les hôpitaux soient surpeuplés et que la moitié des lits des urgences soient occupés par des malades qui « ne peuvent pas être transférées dans une unité ou un autre service en raison de la surpopulation », indique le médecin.
Ainsi, il semblerait que des patients qui ne soient pas dans l’urgence prennent la place de ceux qui en ont réellement besoin. La sœur de la victime pense d’ailleurs que le personnel médical a fait de son mieux pour sauver Marianne mais que les conditions n’étaient tout simplement pas favorables.

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