Une étude suggère la présence de dépôts de silice hydratée sur le futur site d’atterrissage de la mission Mars 2020. C’est une excellente nouvelle pour la recherche de vie extraterrestre.
À la base, cet emplacement était déjà très intéressant. En effet, cette formation de 45 km de diamètre pour 500 mètres de profondeur est censée avoir abrité un delta de rivières menant à un lac, il y a entre 3,5 et 3,9 milliards d’années.
“Un delta est extrêmement efficace pour préserver les biosignatures“, justifiait il y a quelques mois Ken Farley, responsable scientifique du projet Mars 2020. “Si la vie sur la planète rouge a existé, ses vestiges ont peut-être été balayés par le fleuve pour être déposés dans cet ancien delta“.
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