À Capitol Hill, où se trouve le Congrès des États-Unis, un groupe d’activistes a scanné le visage d’environ 14 000 passants. L’objectif ? Montrer que l’absence de législation concernant la reconnaissance faciale est quelque chose de dangereux.
Armés de smartphones fixés sur leur front, les activistes ont scanné 13 732 visages en quelques heures à peine. Il faut savoir que les appareils étaient connectés à Rekognition, un logiciel basé sur le cloud, lancé en 2016 par Amazon. Cette application de reconnaissance faciale est notamment utilisée par l’United States Immigration and Customs Enforcement (la police douanière des États-Unis), la police d’Orlando (Floride) ainsi que par des entités privées.
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